(Durée 02 : 31 : 02)
La forêt hantée de Millevaux regorge de sinueux sentiers qui permettent d'en atteindre le cœur. Hier, avec Inflorenza, nous avions emprunté un chemin narrativiste. Cette semaine, avec Arbre, nous empruntons un chemin simulationniste. Dans ce jeu de rôle classique freeform de Thomas Munier, nous interprétons des vagabonds crasseux, des gueules cassées, en quête de trésors et de gloire.
Avec Thomas et Karim, nous arpentons un village muselé par un code arbitraire, une forêt parcourue de bêtes immondes et une scierie dirigée par un fou. (Voir le rapport de partie posté par Thomas.) En quoi les mécaniques d'Arbre encouragent-t-elles les propositions créatives simulationistes ? Comment le jeu plonge-t-il ses joueurs dans une ambiance horrifique ? Comment le jeu traite-t-il des relations entre le corps et les propriétés mentales des personnages ? Ce nouveau chapitre de Millevaux est-il aussi freeform que le prétend son auteur ?
Bonne semaine à tous ! Portez vous bien et surtout jouez bien !